Avril 2011 : Nous nous installons au camping « Fleur de Camargue ». La tour Carbonnière est à quelques kilomètres. Autrefois, elle défendait l’approche d’Aigues Mortes.

Elle est entourée de marais qui font le bonheur des oiseaux :

Des aigrettes, 

Des échasses en train de couver, et qui ont l’air un peu triste, ou peut-être s'ennuient-elles ?

De l’autre coté, un crabier chevelu solitaire,

Autre site intéressant, la réserve ornithologique du Pont de Gau permet d’approcher les flamants roses, qu’on ne voit pas si souvent que ça finalement en Camargue.

On peut y voir aussi d'autres oiseaux, aussi différents que les hiboux grands ducs,

Un circaète, à l'air plutôt sévère, et pas vraiment sympathique.

ou une rousserole dans les roselières.

Avril 2015 : la Camargue nous avait plu, nous décidons d’y retourner après quelques années.

Nous nous installons à nouveau au camping Fleur de Camargue, sous une pluie battante. Et il continue à pleuvoir toute la nuit et toute la matinée du lendemain.

Si bien que c’est avec l’aide du tracteur du camping que nous quittons notre emplacement.

Nous voilà donc partis à la recherche d’un endroit mieux adapté à la situation. C’est au camping « le mas de Mourgues» que nous trouvons notre bonheur : emplacements stabilisés, plantés d’oliviers, de pins, de lauriers, accueil sympathique.

A un petit kilomètre le village de Gallician, départ d’une piste cyclable qui rejoint Vauvert.

Et d'une autre qui part de la station nautique 

Et longe le canal du Rhone à Sète, jusqu'à la tour Carbonnière.

La bouscarde nous a nargués pendant tout le repas, mais on a fini par la mettre en boîte.

Après le repas, promenade digestive, et rencontre avec un troupeau de chevaux Camarguais en totale liberté, et très intéressés par le vélo. L'un d'eux a même essayé de me chiper mon sac.