Parc naturel des boucles de la seine (février 2016)
La Maison du Parc des boucles de la seine est installée dans une ancienne ferme à colombages, à Notre-Dame-de-Bliquetuit, près du pont de Brotonne.
Une dame charmante nous donne une carte de la région et nous conseille sur les lieux à visiter. Elle nous informe également que nous pouvons passer la nuit sur le parking, mais l’endroit nous semble un peu isolé.
C’est finalement à La Mailleraye/seine que nous trouvons le bivouac idéal : face à la seine, proche des commerces.

On ne se lasse pas de voir passer les gros bateaux...

Le lendemain, au programme, la visite de l'abbaye de St Wandrille


Puis celle de Jumièges.

Une manière originale de traverser la Seine : le bac
Cest la route des chaumières qui nous attend le jour suivant.

Elle traverse, entre autres, le joli village de Vieux Port, où un petit parking nous tend les bras.
Il n'était pas prévu de pique niquer sur ce parking, mais on a repéré un Roitelet Huppé dans un sapin tout proche et il nous a fallu plus d'une heure pour le mettre en boîte.

Nous arrivons au marais Vernier,

Un peu décevant, pas grand chose à observer, si ce n'est une jolie vue...

Nous passerons la nuit à Honfleur, 11 € les 24 heures, mais avec électricité, et à quelques pas du centre
Nous connaissions déjà la ville, mais je la trouve encore plus jolie à la tombée de la nuit.

Le lendemain, nous passons le pont de Normandie pour nous arrêter sur l’aire de la baie de Seine, juste après le péage. L'endroit n'est pas très bucolique...

Et le temps est plutôt frisquet, alors nous observons depuis le camping car.

Jusqu'à ce que quelques busards des roseaux nous obligent à sortir.


La maison du parc est de l'autre coté de l'autoroute, on y accède par la passerelle qui surplombe le péage.
Un chemin mène jusqu'à une mare pédagogique. De là nous avons eu une jolie vue sur le pont.

Puis le sentier devenu très boueux nous oblige à faire demi-tour. Dommage : vu quelques aigrettes, entendu des panures à moustaches, l'endroit est sûrement intéressant au printemps, nous reviendrons.
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